285 euros par an. Que vous payeriez-vous avec cette somme ? Une question que ne se posent pas les jeunes femmes qui doivent débourser ce montant pour leurs protections hygiéniques. Les associations étudiantes demandent des moyens concrets pour les aider financièrement.
Des étudiantes déjà en situation précaire
La Covid-19 a exacerbé les difficultés financières des étudiants. Une précarité renforcée chez les jeunes filles qui doivent débourser, tous les ans, 285 euros pour leurs protections hygiéniques. Un montant élevé quand chaque euro compte. C’est ce que met en lumière la Fédération des associations générales étudiantes (Fage). Elle vient de mener une étude sur la précarité menstruelle. 33% des étudiantes ont besoin d’un soutien financier pour se procurer des tampons ou des serviettes hygiéniques, jetables ou réutilisables.
A quand la gratuité ?
La fédération étudiante dénonce une injustice : plus d’une femme sur dix a déjà dû choisir entre ces protections et un autre produit de première nécessité. Pour lutter contre cette précarité menstruelle, de plus en plus d’associations organisent des distributions de kits d’hygiène.
Par ailleurs, la FAGE demande au gouvernement français la gratuité des protections hygiéniques pour toutes les femmes, comme l’a fait l’Écosse en novembre 2020.
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en ce moment surtout ne pas aller boire un coup avec des potes …..ça a un coup,, les cigarettes ….ça a un coup le maquillage ça a un coup ne me dites pas que vous ne pouvez pas vous payer des protections tampons ou autre arrêtez de pleurer pour la nourriture je ne dis pas mais pour le reste excusez moi je ne valide pas
maquillage et lingeries et de moins chere aussi mais assez cher des jf assez des sentiment de leurs corps
Comment faisons-nous dans le temps ? Serviettes type éponge et nous les nettoyons. J’ai élevé mes enfants avec des couches tissus lavables. Le dernier a 27 ans. Barbe de tous ces trucs à jeter.