Les nouveaux vaccins bivalents à ARN messager de Moderna ou de Pfizer n’ont pas été validés par des études cliniques sur l’homme. Comment sait-on qu’ils sont sûrs pour l’organisme ?
Trois vaccins contre Omicron
Les trois vaccins bivalents disponibles en France sont proches des vaccins de première génération de Pfizer et Moderna. Ce qui a changé ? Une partie de l’ARNm injecté. En effet, les vaccins bivalents ciblent Omicron BA.1 (vaccin de Moderna ou de Pfizer/BioNTech) ou Omicron BA.4 et BA.5 (Pfizer/BioNTech).
Pourquoi n’y a-t-il pas d’études cliniques ?
« Pour prouver l’équivalence ou la supériorité des bivalents sur des vaccins classiques, il aurait fallu des effectifs énormes » explique le Pr Jean-Daniel Lelièvre lors d’un point presse l’ANRS-MIE. Il est immunologiste au CHU Henri Mondor à Créteil.
Des données immunologiques à la place
«Pour le moment, les résultats d’efficacité des vaccins bivalents ne reposent pas sur des essais cliniques, mais sur des données immunologiques», a ajouté le Pr Jean-Daniel Lelièvre. «Les données en vie réelle seront disponibles avant la fin de l’année».
Quelle est leur efficacité ?
Les médecins attendent une efficacité au moins équivalente, voire supérieure des vaccins bivalents. «Les premières données sur le vaccin BA.1 injecté en Israël suggèrent une efficacité plus longue», observe l’immunologiste.
4 commentaires
le titre de l’article aurais du être
« labos cherches cobayes » pour de nouveaux produis en test grandeur nature.
les volontaires à l’euthanasie étant prioritaire
au moins ça aurais été plus honnête
quoique depuis 2 ans, c’est exactement ce qui se passe
En effet, Patrick76 les volontaires affluent par millions
« Les nouveaux vaccins bivalents à ARN messager de Moderna ou de Pfizer n’ont pas été validés par des études cliniques sur l’homme ».
Actuellement c’est en pleine discussion au parlement européen sur les premiers vaccins et la représentante de Pfizer l’a reconnu. Et là ça recommence avec des nouveaux non testés…mais c’est une histoire sans fin.
On a appris hier qu’une plainte allait être déposée auprès du procureur de l’Union européenne contre Von Der Leyen pour des faits de corruption passive, en raison notamment de son refus injustifié de s’expliquer sur ce contrat effarant de plusieurs dizaines de milliards d’euros passé sans aucun contrôle, dans des conditions très obscures, avec le laboratoire Pfizer. Laboratoire dont le PDG, Bourla, a refusé de venir s’expliquer devant la commission européenne, tandis que les cadres de Pfizer entendus devant la commission (sans prêter serment !) ont admis que les tests avant commercialisation n’étaient pas terminés, et que la protection contre la transmission du virus n’avait pas été vérifiée.
Des dizaines de milliards d’euros, cela implique, comme de nombreuses autres affaires l’ont démontré, des faits de corruption pour vanter les mérites d’un produit dont on ne sait pas grand chose, ni l’efficacité, ni la dangerosité. C’est ainsi qu’un autre grand laboratoire est responsable de la mort de plus de 100 000 américains en commercialisant un anti-douleur par la corruption de chercheurs et de médecins.
Le présent article parle de médecin qui « attendent » une efficacité et des « premières données » qui « suggèrent une efficacité plus longue ». Cela ressemble furieusement à des commerciaux qui tentent à tout prix de vendre leurs produits, et qui sous des formules fumeuses, avertissent qu’ils ne garantissent rien de l’efficacité du produit, et préfèrent se taire sur les conséquences désastreuses pour la santé.
Nous avons là tous les ingrédients d’un immense scandale sanitaire et financier.