5 aliments à éviter après 30 ans

Qu’elle approche ou qu’elle soit déjà – bien – entamée, pour reste en bonne santé, une fois la trentaine atteinte, il vaut mieux réduire la consommation de certains aliments. En effet, le corps n’est plus capable de digérer et d’assimiler certains produits aussi bien qu’auparavant.

1. Le lait écrémé

Les laits écrémés et demi-écrémés contiennent du dioxyde de titane, un agent blanchisseur, qui leur donne leur couleur. Mais ce dernier se trouve aussi dans le ciment, ce qui explique qu’il soit classé comme potentiellement cancérigène par l’Anse.

2. Les sodas light

Bien qu’en réalité, ils ne soient conseillés à aucun âge, sucrés ou non, après trente ans, mieux vaut les prohiber. Pour compenser le sucre qu’ils ne contiennent pas, les fabricants de sodas light y ajoutent des édulcorants artificiels, qui sont dangereux pour la santé. De plus, boire des sodas fait monter le taux de glycémie rapidement, qui redescend aussi rapidement. En effet, le pancréas secrètera plus d’insuline pour faire baisser ce taux de glycémie, ce qui va provoquer une sensation de faim et une envie de sucre.

3. Les pâtes

Dur, dur… Sauf si vous êtes sportif de haut niveau, les pâtes ne sont clairement plus recommandées passé un certain âge. Comme elles sont très riches en gluten, elles risquent d’abîmer le système digestif. En revanche, vous pouvez vous tourner vers des pâtes sans gluten.

4. Le pain blanc

Le sucre se cache partout… Même dans le pain blanc ! Or, le sucre – à outrance – est aussi mauvais pour la santé que pour la peau. Il abîme le collagène de la peau et lui fait donc perdre en élasticité. C’est pourquoi il est recommandé de se tourner vers le pain complet.

5. La charcuterie

La charcuterie pose surtout un problème de santé pour les hommes. Ceux qui en consomment à l’excès ont moins de spermatozoïdes que les autres et sont de ce fait moins fertile. De plus, leurs spermatozoïdes sont de moins bonnes qualités, comme le montre une étude, menée sur 150 hommes, entre décembre 2006 et août 2010 et parue par le journal européen spécialisé Human Reproduction.