Outre les pesticides et autres produits chimiques que l’on retrouve dans notre alimentation, on se s’attend pas à y trouver certaines matières, comme la glande avale de castor. Mieux vaut avoir le cœur bien accroché pour cette liste…
1. Des déchets de rongeurs
Autour des sites de transformation des aliments, on retrouve souvent des rats et autres vermines. Ces derniers peuvent y laisser de nombreux déchets, comme des poils ou des excréments.
Aux États-Unis, la FDA autorise d’ailleurs un poil de rongeur pour 100 grammes de beurre de cacahuète.
2. Des insectes
Les pâtes ou le vin peuvent contenir des dizaines des cernes de bouts d’insectes, avant d’être jugés comme contaminés. On les retrouve aussi dans les colorants alimentaires, ce sont eux qui donnent par exemple la couleur rouge.
3. De la moisissure
Les champignons qui se forment sur les fruits et légumes sont naturels. Ils peuvent se former durant le trajet entre l’endroit où ils ont été produits et le moment où nous les cuisinons.
4. Du bois
La cellulose rend le yogourt onctueux et permet au gruyère de ne pas s’agglutiner. Et vous l’aurez deviné, la cellulose est composée de minuscules fragments de bois.
5. Du sable
Le sable est utilisé dans les plats industriels sous le nom de « dioxyde de silicium ». Il a une action antiagglomérante, comprendre qu’il empêche les plats d’être tout collés.
La cystéine est un acide aminé obtenu à partir de poils d’animaux ou de cheveux. Elle est utilisée dans certains pains industriels ou les bagels et leur permet de ne pas durcir au bout d’une journée. Vérifiez les étiquettes…
7. Des glandes anales de castor
Les sécrétions de glandes anales de castor, ou cast sont utilisées dans les parfums et eau de Cologne. Mais aussi dans celle des bonbons. Elles rehaussent notamment le goût de framboise.
8. De la laine de brebis
La lanoline est créée grâce à la purification et le raffinage du suint, partie grasse de la laine. Elle est nommée « gomme base » ou « gum base » sur les emballages des chewing-gums par exemple. Sympa…
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Ou comme les asticots morts et les excréments séchés de souris que j’ai retrouvés (donc ce n’est pas des « on-dit » ou des « hoax », mais bien « du vécu par moi-même » et que malheureusement j’ai eu confirmation (avec renouvellement du dégoût) en lisant un an plus tard sur des forums (de la marque en question) retrouvés dans certains lots de leurs riz soufflé au chocolat, de leur MDD (grandes boîtes de céréales pour petit-déjeuner). Donc, je n’avais pas halluciné ou mitonné, car d’autres consommateurs en ont également retrouvés !
Ou encore la « gélatine de porc » ou « de bœuf », cette gélatine issue des cadavres d’animaux en abattoir (il parait que « dans le cochon tout est bon », vraiment tout…), qui sert (ou servait, car « il parait » que c’est désormais interdit… enfin, il parait, en théorie…) à fabriquer les fameux bonbons « gélatineux » (ça ne s’invente pas) souvent en forme de nounours de toutes les couleurs, bourrés de sucre pour masquer l’aspect « dégueu » de cette gélatine (comme si on mangeait la couenne du jambon bas-de-gamme). Ou encore cette gélatine qui entre dans la composition de certains ingrédients pour préparations culinaires (sauces, nappages de tartes) et autres préparations industrielles qui doivent donner l’impression de « mou et brillant » à certains aliments trop secs ou durs…
Oui, effectivement, le « bois », ou sa cellulose, est (ou était) utilisée massivement, bien trop massivement ! dans certains cafés lyophilisés bas-de-gamme (1er prix ) de certains grands distributeurs… Ce « café », que j’avais goûté (!!!) était écœurant ! ils ne s’étaient pas gênés d’y « mettre la dose » au point que j’avais l’impression de boire de l’eau dans laquelle j’aurais moulu du bois contreplaqué ou aggloméré ! Même le goût du « pseudo-café » était masqué par l’ingrédient « bois ».
Ou encore de la pisse « purifiée » (en espérant qu’elle l’est réellement !) qui entre dans la composition de certaines crèmes pour traiter des affections dermatologiques (donc même si vous ne la « mangez » pas, elle traverse la peau et se retrouve aussi dans le corps), d’ailleurs on ne rêve pas : quand on utilise cette crème, ça pue vraiment la pisse ! (vaut mieux ne pas s’en mettre juste avant un rendez-vous !). Mais apparemment c’est efficace, et il parait qu’aucun ingrédient fabriqué artificiellement ne pourrait remplacer aussi efficacement cette « pisse naturelle »… ou alors c’est son prix « avantageux » (gratuit) qui les incite à utiliser cet ingrédient providentiel…
Et sans parler de tous les déchets et « raclures de nettoyage » (à l’aspect immonde, grasses et dégueulasses) des lignes de fabrication des usines de saucisses, raviolis, et autres « plats préparés », qui entrent en partie dans la composition de ces « plats » industriels dégueu, et pour masquer l’odeur et le goût dégueu (viande avariée, eau stagnante, graisse qui se décompose…), ils « mettent la dose » sur les aromates et autres « rehausseurs de goût » tout aussi artificiels et d’origine plus que douteuse.
Sans parler également des palettes entières de grandes caisses remplies de déchets de carcasses de 3e choix et autres déchets de découpe (caisses d’une couleur différente que les caisses de « viande normale ») que prennent avec plaisir et à « prix très cassés », ces industriels de la malbouffe, de la part des abattoirs qui s’en débarrassent avec plaisir, (et que ne veulent pas les « vrais bouchers » de quartier), et ces industriels les incorporent selon un pourcentage plus ou moins grand (qui dépend du prix et de la « gamme » du produit acheté par les distributeurs).
« Rien ne se perd, tout se recycle » ! Ben voyons…
Et aussi ce superbe reportage à la télé (Arte, ou Fr5, ou Cash Investigations, je ne sais plus), où des industriels (tous en fait) mettent carrément des produits à base de pétrole brûlé au goût et saveur artificiellement modifiés, pour faire croire que certains plats, chips, poulets, et autres aliments et apéritifs sont « au bon goût barbecue » !
Et pour les aliments ou confiseries « au bon caramel », faut pas être naïf : c’est du pseudo-sucre artificiel (arôme artificiel à base de pétrole cramé). Ce « pétrole modifié » qui leur sert d’ingrédient pour beaucoup de plats de l’industrie de la malbouffe, leur est livré par fûts de 200 L.
Ou la pisse (et les crottes) de souris sur les patates, ou le blé, dans les entrepôts de stockage… Ou les cailloux et autres bizarreries retrouvés dans le riz…
Bah, la routine, quoi…
Viande d’animaux morts (steak), jus de raisin moisi (vinaigre), lait tourné (présure) puis moisi (Roquefort), etc, etc, et l’humanité a survécu depuis 300.000 ans.
Oui ma maman triait les lentilles, oui je mange la couenne, oui le pôt-au-feu serait infecte sans la gélatine de l’os, etc, etc, mais je ne suis ni écolo, ni végan, ni autres « imbécilités » modernes.
Je me retrouve sur un seul point : fuir l’industrie agroalimentaire, et prendre le temps de cuisiner soi-même à partir de produits frais. La routine, quoi…
Je ne suis pas bobo écolo ou vegan ou autre débiles modernes hypocrites ! (veulent bouffer bio mais adorent vivre en centre-ville méga pollué !)
Bien au contraire, je suis bien loin de ces citadins qui ne supportent plus rien, même pas eux-mêmes !
Ce que vous citez, en reprenant mes éléments, pour me narguer ironiquement, je parlais des « versions pourries » ou mauvaises de ces aliments : les merdes et déchets de l’industrie vraiment toxiques ou néfaste pour notre santé ! (le caca de souris contient des choses vraiment néfastes !).
Il y a de la bonne viande… et des déchets sanitairement imbouffables, mais que les industriels incorporent quand-même !
Dénoncer les « scandales sanitaires style B…..i » ce n’est pas être bobo écolo vegan.
Oui, on peut manger la couenne, personne n’en est mort, mais le nutriscore n’est pas A ! On peut même manger ses excréments et personne n’en est mort ! Mais à partir du moment où c’est mauvais pour la santé (nutritivement la couenne c’est pas top : 100% de gras animal = graisse saturée), et le caca sans intérêt non plus, il vaut mieux s’en passer.
On peut bouffer du Macque d’eau (pour ne pas citer de marque) sans mourir c’est certain, mais manger Bio c’est bien meilleur pour la santé à long terme (en fait « du jardin », c’était déjà bio sans afficher une quelconque étiquette bobo-écolo).
Signé : un type de la campagne, très loin de ces parigots « aseptisés ». Et qui accessoirement a passé une grande partie de sa jeunesse dans une ferme, sans être dégoûté du caca de vache ni des souris…
Et je ne tue pas les araignées ni les autres bestioles car sont utiles pour la nature.
Ajout :
certains éléments que vous citez (dans votre 1er paragraphe), sont des « versions bonnes », et des « moisissures bénéfiques » (c’est comme les « bactéries saprophytes » qui sont bénéfiques et indispensables pour l’humain, elles aident à combattre les bactéries nuisibles).
Le steak (d’animaux morts, forcément LOL) : à condition que la viande ne soit pas avariée (ce qui est parfois le cas dans l’industrie : tout ce recycle). Je mange de la viande presque tous les jours (je suis issu de la campagne, pas bobo écolo prout prout vegan pour un sou) mais je n’en mange pas de trop (coût, éviter excès de protéines).
Le scandale BuyTonny, ce n’était apparemment pas le la viande « 1er choix »…
Le scandale « Laque t’as lisse » où des enfants sont morts, c’était pas « de la bonne présure », je suppose 🙁 d’autres petites merdouilles « mortelles » y sont entrées sans y avoir été invitées, mais pas non plus surveillées et encore moins éliminées).
La présure est UNE VARIÉTÉ sélectionnée de ferments triés justement pour son aspect bénéfique (fabriquer du fromage, et est neutre pour la santé si la fermentation est correcte et complète).
Boire du jus de raisin ou de pommes pas correctement fermenté donne la « chi…sse » (j’en sais quelque chose, des proches fabriquaient du jus de raisin (stérilisé sous bouteilles), et du vin. Le vin correctement (complètement) fermenté (cycles de plusieurs fermentations successives bien précises) ne donne pas la ch…sse.
Il a fallu BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP de morts (et on ne savait pas pourquoi), à cette « humanité qui existe depuis des millénaires », jusqu’à avoir réussi à trouver les « bons » ingrédients, et comment les utiliser (cuire, couper les bouts de branches toxiques de la rhubarbe, « goûter » certaines baies en forêt jusqu’à connaître lesquelles nous permettent de survivre, de celles nous envoyant direct à la tombe… Etc.
Idem pour les champignons (autrement appelés moisissures), certaines moisissures sont très toxiques (champignons mortels ou moisissures dans logements insalubres). Alors que d’autres « moisissures » (pour fabriquer du fromage, par exemple) sont sans danger et précisément sélectionnées pour son aspect bénéfique et non-toxique.
Moi je ne parlais QUE des « déchets industriels » issues de nourriture AVARIÉE et/ou toxique par définition.
Je pense qu’on est d’accord, il faut juste qu ‘on parle des « bonnes versions » de ces ingrédients de la nature 🙂