Moins de deux semaines après sa sortie, un nouveau médicament est déjà en rupture de stock en pharmacie. Ce médicament est réservé aux établissements de santé en priorité.
Un médicament produit en France par Sanofi
Ce médicament en rupture de stock est produit par le laboratoire français Sanofi. Il s’agit du Beyfortus, un nouveau traitement contre la bronchiolite pour les nouveau-nés de moins de 2 mois. Le gouvernement avait commandé 200 000 doses mais il est déjà en rupture de stock dans les pharmacies.
Les maternités sont prioritaires
Selon une information de Radio France, le traitement Beyfortus est réservé en priorité aux maternités. «Dans les maternités, 60 à 80% des parents ont dit oui à l’injection d’une dose de Beyfortus pour leur nouveau-né», rapporte Radio France. Résultat : les pharmacies de ville ne sont pas ou peu approvisionnées.
Des mamans en attente du traitement
«Les épidémies démarrent à l’automne donc c’est maintenant que les bébés en ont besoin» témoigne Claude Péricaud, pharmacienne à Bagneux à la radio nationale. «On devait avoir des livraisons entre trois à six jours et pour l’instant on n’a rien reçu, donc on a pas mal de mamans en attente», ajoute-t-elle.
Bronchiolite : 72 000 passages aux urgences
Selon les chiffres de Santé publique France, lors de l’automne/hiver 2022-2023, la bronchiolite a déclenché :
- 73 262 passages aux urgences,
- 26 104 hospitalisations,
- 10 801 actes SOS Médecins.
3 commentaires
Cet article est un véritable outil de propagande pour la vaccination (une de plus) des pauvres nouveaux nés…!
Pourquoi appeler cela un médicament? C’est une injection…!
Et puis c’est bien connu, quand un produit vient à manquer tout le monde se met à le désirer…!
Encore une personne stupide ! qui ne crois qu’aux Gourous ! Depuis la vaccination, la poliomyélite n’existe plus, la rougeole ne tue plus le enfants… etc On devrait supprimer les vaccinations dans le monde, la mortalité des humains monterais en flèche et ça règlerait la surpopulation, NON ???
11 vaccins sont désormais obligatoires pour les bébés nés après 2018. 3 pour ceux nés avant. Cherchez l’erreur. Aujourd’hui la « survaccination » est un marché comme les autres, juteux (demandez à VonDerLeyen). Si le gouvernement voulait le bienêtre de sa population, cela se saurait : baisse APL, matraquages des Gilets Jaunes, « réforme » des retraites, injections COVID forcées (850 000 cas d’AVC en 2022 ), enfermement et parquage des enfants (qui ne font qu’attraper le « virus » sans le transmettre dixit Pasteur) pour que les petits vieux électeurs n’aient pas peur, déliquescence de l’hôpital (les sacs poubelles en guise de blouse, le manque de masque, les mensonges sur les chiffres), destruction de l’école, déremboursements, déserts médicaux etc. etc. ) Et vous voudriez que l’on fasse confiance ? Laissez nous rire.