Une récente étude fait le lien entre le risque de crise cardiaque et les fêtes de fin d’année. Un risque bien plus élevé les 25 et 26 décembre ainsi que le 1er janvier. Quelles sont les raisons ?
Risque augmenté de 15%
«Nous constatons chaque année, au cours des mois les plus froids, une augmentation d’environ 10 % du taux d’accidents cardiovasculaires mortels. Mais aux alentours de Noël ou du Nouvel An, on observe une hausse supplémentaire de 5 %» explique Mich Elkind. Il est responsable des sciences cliniques pour l’American Heart Association (AHA).
Quel est le principal coupable ?
Le froid est le premier responsable. En effet, le froid a un effet vasoconstricteur, ce qui signifie que le diamètre des artères rétrécit, en fatiguant davantage le cœur. De plus, le froid peut entraîner une poussée d’hypertension artérielle avec de graves conséquences comme l’accident vasculaire cérébral (AVC).
Repas de fêtes bien arrosés
Les deux autres facteurs responsables de ce risque accru de crise cardiaque sont des repas de fêtes trop gras et trop alcoolisés ainsi qu’un moindre exercice physique. De plus, cette période de l’année n’est pas la plus reposante : stress lié à l’organisation ou aux retrouvailles, nuits plus courtes. Deux facteurs qui abaissent les défenses immunitaires.
Comment prendre soin de son cœur pendant les fêtes ?
La première règle pour prendre soin de sa santé cardiaque pendant les fêtes est d’écouter son corps. La moindre alerte comme des douleurs thoraciques doit alerter. Dans la même veine, il est essentiel de continuer à prendre ses médicaments en cas d’hypertension artérielle. Enfin, dernier conseil des cardiologues : rester modéré dans sa consommation d’aliments salés, gras et de boissons alcoolisées.
3 commentaires
De nombreux cardiologues ont évalué à 800 % l’augmentation des risques de myocardites après injection Pfizer. Et sur ces 800 %, un nombre important de crise cardiaque, parfois mortelle. Alors, plutôt que d’écrire que c’est à cause du froid, du chaud, des fêtes de fin d’années, de pas assez de sport, de trop de sport, de lacets de chaussures trop vite lacés, faites votre travail de journalistes et parlez enfin des criques cardiaques dues aux injections.
étrangement , on ne lisait pas ce genre d’articles avant les campagnes d’injections massives , comme c’est bizarre…
Pourtant moi j’ai lu ce genre d’article bien avant le covid donc bien avant, je vous cite, « les campagnes d’injections massives » . Comme c’est bizarre !!! Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.