Certaines boissons sont déconseillées pour les diabétiques. Leur consommation au quotidien serait associée à un risque accru de décès prématuré ! Faisons le point.
Les sodas
Nous avons largement parlé des études scientifiques qui démontrent que les sodas favorisent la prise de poids et l’apparition du diabète de type 2. Ces boissons renferment une forte teneur en sucres, et font grimper rapidement la glycémie.
Il est primordial de les éviter et de privilégier les boissons light ou zéro qui ne contiennent pas de sucres, mais elles sont tout de même à consommer avec modération. Il faut éviter également : les boissons énergisantes très sucrées.
Les jus de fruits industriels
On a tendance à consommer du jus de fruits fabriqué dans les industries agroalimentaires car ils sont délicieux, pourtant, ils contiennent beaucoup plus de sucres ajoutés que de fruits. Ils peuvent donc déséquilibrer la glycémie des personnes atteintes de diabète et font augmenter le taux de glucose dans le sang.
Si vous avez envie de boire du jus de fruits, privilégiez les jus naturels. Vous pouvez presser des oranges, pamplemousse… Ou faire des smoothies de banane, framboise, fraise, avocats…etc. Les jus de fruits naturels sont riches en vitamines, en minéraux et en oligo-éléments. D’autant que les fibres ralentissent l’absorption du glucose et par conséquent les pics de glycémie.
L’alcool
De manière générale, la consommation d’alcool (vin rouge, vin blanc sec, champagne) n’est pas interdite aux diabétiques mais il est recommandé d’éviter le rhum, le whisky, le Porto…qui sont toutefois particulièrement sucrés.
Les eaux aromatisées
Ce sont de véritables pièges, les eaux aromatisées du supermarché regorgent de sucres et d’arômes artificiels.
Aromatisées à la fraise, aux agrumes ou encore à la pêche, beaucoup personnes en consomment en grande quantité, sans être conscientes qu’elles absorbent du sucre.
Bien évidemment, afin de maintenir une glycémie normale, évitez ces boissons et faites attention également à votre régime alimentaire. Il est important aussi de pratiquer une activité physique. La sédentarité et la surcharge pondérale constituent en effet des facteurs de risques.