C’est l’une des deux maladies neurodégénératives les plus fréquentes en France. Parkinson cause des tremblements, liés à une dégénérescence du système nerveux. En revanche, contrairement aux idées reçues, elle ne touche pas seulement les personnes âgées.
La maladie provoque la lenteur des mouvements
La maladie de Parkinson touche le système nerveux. On compte 272 500 malades en France en février 2022 et 25 000 nouveaux cas chaque année, d’après l’Inserm. Ce serait la seconde maladie touchant le système nerveux la plus répandue. C’est une maladie chronique qui évolue doucement.
Elle cause une difficulté de mouvement, une rigidité musculaire, des troubles de l’équilibre ou des troubles cognitifs et du comportement. Pour être diagnostiqué, on observe la lenteur avec laquelle le patient bouge, la raideur musculaire et les tremblements au repos.
Elle touche les personnes les plus âgés
On ne connaît pas les causes exactes de Parkinson, en revanche, elle touche généralement les personnes les plus âgées. En général, les symptômes ne se déclenchent pas avant 45 ans, ils peuvent arriver assez tôt. On note un pic entre 85 et 89 ans, selon l’Inserm. 17 % des Français souffrant de Parkinson avaient moins de 50 ans, en février 2022.
Les hommes sont 1,5 fois plus touchés que les femmes. Mais l’âge des premières menstruations, le nombre de grossesses, le type de ménopause et les molécules administrées pour améliorer la fertilité, seraient tous des facteurs de risque plus élevés pour les femmes, d’après le journal de neurologie Brain, en novembre 2022.
Toute une série de facteurs sont en causes
Parkinson engendre la perte des neurones sous l’action de la dopamine. La maladie évolue à cause de facteurs génétiques, de l’environnement quotidien ou du vieillissement et dépendent les uns des autres. C’est pourquoi il est difficile de pointer des profils plus à risques que d’autres.
Les facteurs environnementaux des malades sont étudiés par les médecins. Par exemple, s’ils ont été exposés à des solvants organiques, des métaux lourds comme le mercure, le plomb, ou le cadmium. Si les malades ont vécu en milieu rural, il est possible qu’ils aient été exposés à des produits chimiques et à des pesticides. En effet, on constate que le risque de développer la maladie est plus élevé quand on est exposés à ces matières.
9 commentaires
la nouvelle mode de donner des médoc à prendre à vie..! y est aussi pour qq chose
quand ça arrive dans une famille qui demande parce qu’on ne sait pas si c’est vraiment çà des examens depuis longtemps et que personne ne réagit . Il a fallu insisté lourdement pour avoir un rdv avec un neurologue passer un scanner et IRM. Se poser les questions par rapport à un médicament don les effets secondaires donnent des tremblements et que le psy ne voulait pas changer ou diminuer . Et pour un suivi le prochain rdv a été donné dans un an . C’est inquiétant de ne pas pouvoir se faire soigner et se faire écouter. Mais quand vous vivez avec la personne et que vous voyez bien ce qui se passe et que ça ne s’arrange pas sans pouvoir rien faire c’est usant. il y a pourtant des traitements connus qui permettent de continuer à vivre presque normalement.
Toutes ces maladies neuro-dégénératives sont en grande partie dûes à tous les produits chimiques que nous ingurgitons sous toutes ces formes (médicaments, alimentation, eau de boisson…!)
Les pesticides sont les premiers responsables et d’ailleurs ce n’est pas pour rien qu’il y a beaucoup de cas de maladie de Parkinson chez les agriculteurs qui aspergent « la mort » dans leur champs.
Les consommateurs ne sont pas de reste puisqu’ils ingurgitent les produits issus de cette agriculture qui ne respecte pas le vivant…!
On creuse sa tombe avec ses dents…!
J’aime beaucoup ce genre d’article : « Quels sont les profils les plus à risques ? »
Conclusion : « Eh bien, on n’en sait rien »
Enfin, ça fait du « papier » !
Le même sans apostrophes :
J aime beaucoup ce genre d article : « Quels sont les profils les plus à risques ? »
Conclusion : « Eh bien, on n en sait rien »
Enfin, ça fait du « papier » !
bref, à la fin de l’article je ne suis pas plus malin.
article bidon pour passer de la pub….
Et comme par hasard, l’article « oublie » de mentionner l’ALUMINIUM parmi les métaux lourds susceptibles de provoquer la maladie, cet aluminium contenu dans de nombreux vaccins dont ceux contre le COVID.
Les commentaires en apprennent plus que l’article, au titre accrocheur mais creux..