Les rats new-yorkais font la Une des journaux. Ils sont porteurs d’un nouveau variant du SARS-CoV-2. Comment ont-ils été infectés ? Peuvent-ils transmettre la maladie à l’homme ? Quel est ce nouveau variant ?
Nouveau variant à New-York
Les rats qui vivent dans les égouts à New-York sont peuvent être porteurs d’un nouveau variant de coronavirus. Les animaux ont pu être infectés en buvant l’eau usées des égouts. En effet, le virus de la Covid est très présent dans le tube digestif et se retrouve dans les selles des personnes contaminées, symptomatiques ou non. D’ailleurs, les scientifiques analysent les eaux usées d’une ville pour évaluer la circulation du virus.
Des eaux usées aux rats
«Nous n’avons jamais détecté de virus vivant dans les eaux usées. Mais étant donné le volume des eaux usées et le nombre de rats, il est certainement possible qu’ils aient été infectés de cette façon», a expliqué John Dennehy, co-auteur de l’étude et médecin spécialisé en virologie.
Un prochain variant via les rats ?
Les animaux sont aussi contaminés par le SARS-CoV-2. Les scientifiques américains rappellent le cas de visons, de lions et tigres, ainsi que de chats et de chiens infectées par la Covid. En observant les lignées d’un nouveau variant détecté dans les eaux usées de la ville, les chercheurs ont émis l’hypothèse que «ces lignées soient dérivées d’un hôte animal tel qu’un rongeur».
11 commentaires
Ne pas manger des rats
Faut dire ça aux Chinois…!
Comme si les chinois n’étaient pas au courant depuis longtemps !!
Les rats ont de la chance, ils vont pouvoir bénéficier d’un « vaccin » qui a été testé sur les humains. Non sans risque certes, avec des résultats médiocres, certes, mais pour une fois que l’expérimentation n’est pas réalisée sur des animaux.
Tout à fait d’accord avec vous, les animaux se vengent, ils ont raison
Quand les rats vont quitter le navire, avant d’être fait comme des rats.
Qui est sur terre le plus gros propagateur des maladies et des virus sur notre planète surpeuplée ( pauvre terre ) je pense que l’humain y est pour beaucoup , arrêtons de nous voiler la face
Et peut-être les famines à venir , ce n’est pas toujours la faute des animaux ? et les élevages intensifs , actuellement ou meurent des milliers de volailles de la grippe aviaires ? ce n’est pas la faute de l’homme ? Quand va-t’ont prendre conscience et penser autrement que frics et exploitation ? Peut-ont toujours penser que cest toujours la faute des autres ? non je ne croit pas .il suffit de regarder aussi les ephads pour comprendre Un seul dieu le fric pour une minorité
Des commentaires qui prêtent à sourire, mais dans tous les cas d’espèce c’est l’humain qui est au centre du problème posé quand il n’est pas à l’origine. D’où nécessité de revoir les fondamentaux d’un système qui laissent moins de place à la rentabilité au profit de l’humanité toute entière. D’une nature réaliste, j’ai peu d’espoir… A moins que des milliardaires de bonne volonté ?
incroyable, sur terre, il existe des maladies, et même que parfois, on meurt, bon, on fout tout le monde au chomage et on pousse nos enfants au suicide pour se protéger ou bien ?
les milliardaires ne seraient pas ces ultra profiteurs s’ils étaient de bonne volonté. donc …
Le rat et le raciste :
Le rat voulait nourrir sa famille, le raciste croyait qu’avant c’était mieux. Le rat trouva les égouts, et se contenta des restes, le raciste trouva des hommes de couleurs, et pensa que c’était leur faute. Le rat fit bien aise de trouver là son nid, l’enfant du raciste fit bien aise de s’amuser à l’école avec un camarade de couleur. Le rat fonda sa hiérarchie, le raciste se regroupa avec d’autres, pour fonder un parti politique, les enfants du rat firent comme leurs parents, les enfants du raciste firent de même. Les rats élurent leur champion, les racistes firent de même. Les rats se multipliaient, et vécurent heureux. Les racistes furent obligés de travailler beaucoup plus, mais pour un salaire chiche » Car il faut sauver la patrie de la faillite » : Leur a dit le grand raciste. Les rats étaient beaucoup plus qu’avant, et ils dirent tout haut : » Maintenant on est prospère », tandis que les racistes pensaient tout bas « c’était mieux avant ».