La hausse des contaminations fin août et l’arrivée du nouveau variant Eris font de nouveau parler du Covid. Faut-il s’inquiéter à la veille de la rentrée scolaire ?
Nouvelle mutation du virus jugée « d’intérêt »
Eris ou « EG.5 » est une sous-lignée du variant Omicron. C’est une nouvelle mutation du virus du Covid. Au niveau mondial, sa prévalence est passé de 7,6 % des cas de Covid fin juin à 17,4 % fin juillet. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a désigné le variant Eris « d’intérêt ». Selon l’organisation internationale, Eris pourrait devenir dominant, dans certains pays ou à l’échelle mondiale avec une augmentation du nombre de cas de COVID-19.
Quelle est la situation Covid en France ?
«La situation en France reste caractérisée par la co-circulation de nombreux sous-lignages d’Omicron» constate Santé publique France dans son dernier bulletin épidémiologique daté du 23 août. «Sur les dernières enquêtes Flash, la circulation du lignage EG.5 [NDLR : Eris] semble se stabiliser autour de 30%».
Plus de passages aux urgences mais…
Du 14 au 20 août 2023, les autorités sanitaires notent «une augmentation du nombre de passages aux urgences pour suspicion de COVID-19 tous âges confondus est observée» de 41 %. En nuançant ce chiffre car «la proportion d’hospitalisation après passage aux urgences reste stable». D’autant plus que les hospitalisations comme le recours aux urgences pour suspicion de Covid «restent à des niveaux bas comparativement aux niveaux observés lors des précédentes vagues épidémiques», souligne Santé publique France
Risque plus élevé entre novembre et janvier
La rentrée scolaire n’est pas la période la plus délicate après le brassage de la population cet été. C’est en hiver, entre novembre et janvier, que les conditions sont propices à un rebond épidémique. Toutefois, le Covid devrait rester un virus « comme les autres », comme celui de la grippe.
Un commentaire
Et la manipulation des citoyens, non avertis continue…
La peur est moins présente, mais il faut à tout prix inciter les citoyens à se faire encore injecter ces produits génétiques pour à la fois justifier l’achat massif de doses par la Commission européenne à Pfizer (merci Mme Von der Leyen pour vos sms secrets, ayant disparu) et assurer une bonne décroissance de la population pour satisfaire aux visions malthusiennes de certains illuminés multi-milliardaires.