A Bordeaux, Perpignan et Brive, des tentes ont été montées le week-end dernier pour faire face à l’afflux des patients aux urgences. A quoi sert ces tentes nommées « poste médical avancé »? On fait le point.
Accueillir décemment les patients
Au centre hospitalier de Perpignan, François Sanchez, représentant du personnel, tire la sonnette d’alarme. «On est arrivé à un point de non-retour, on n’a plus les moyens d’accueillir décemment les patients», explique-t-il à l’AFP. Depuis dimanche 6 février, l’hôpital manque de lits alors que les patients continuent d’arriver aux urgences.
Des tentes pour trier les patients
Trois tentes ont été installées devant l’hôpital. «Elles vont permettre de trier les patients afin qu’ils ne restent pas dans les couloirs», a précisé François Sanchez. «Ce tri qui se faisait aux urgences a été déporté sous les tentes, l’espace de 48 heures». Une durée qui s’est prolongée.
Manque de soignants
Le représentant du personnel soignant de Perpignan point le manque de lits et de soignants. «Il y a un ras-le-bol global du personnel des urgences, surtout des infirmières ». «Quand on parle de lits, c’est surtout le nombre de soignants qui sont autour et les médecins pour les prendre en charge qui manquent cruellement », ajoute-t-il à l’AFP.
Le CHU de Bordeaux débordé
Début février, le CHU de Bordeaux a eu aussi recours à deux tentes en tant que «poste médical avancé». Dressées dans un hall de l’hôpital, elles ont accueilli les patients aux urgences avant de les orienter. Un dispositif de fortune renouvelable toutes les 24 heures. En effet, le CHU a fait face à un afflux de patients. Une hausse soudaine qui s’explique par la saturation des services d’urgences des autres hôpitaux du territoire «qui a entraîné une réorientation de patients vers les urgences du CHU», a précisé la direction de l’hôpital.
Situation tendue à Brive
Enfin, la situation est aussi tendue à Brive. L’hôpital a fait appel à la protection civile de Corrèze pour installer deux tentes à l’extérieur. Là aussi, il s’agissait de faire le tri des patients à l’entrée des urgences
22 commentaires
a quoi SERVENT ……
Mon épouse a été opérée vendredi pour un problème sérieux. Elle me disait le nombre très important de soignants autour d’elle en salle d’opération. Toute personne opérée le sait.
Il faut, bien sûr, que le nombre de soignants – en temps normal – soit en adéquation avec le flux prévisible de malades, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Dans l’immédiat , nous ne sommes pas dans une période « normale », et « l’une » des solutions réside dans le fait qu’il y ait le – moins possible – de malades devant se rendre à l’hôpital.
L’anesthésiste, avant l’opération, nous disait son désespoir de voir arriver autant de malades du Covid non vaccinés (8 lits sur 9 dans cette clinique, le 9ème avec co-morbidité).
Ma femme et moi avons 72 ans, 14 adultes mariés et 20 petits enfants de 0 à 22 ans, soit un total de 36 personnes.
A l’exception de 5 enfants de moins de 5 ans, TOUS, soit 29, sont « vaccinés » 3 doses … et 29 sont positifs dont certains bien malades (poumons qui brulent, etc.) et plusieurs le sont pour la deuxième et même la troisième fois.
Mais ma femme et moi ne sommes pas « vaccinés », et, malgré tous nos efforts (nous embrassons, ne portons de masques que lorsque nous ne pouvons pas faire autrement, etc.) nous n’arrivons pas à être positifs (ce qui nous rendrait un peu de liberté 2 ou 3 mois).
Le Pr Péronne (et tous les prix Nobel et autres sommités virologues mondiaux tous traités de charlatans) aurait-il raison quand il dit que ces injections provoquent plus d’anticorps facilitants que neutralisants ?
Question : les gens se feraient-ils injecter ces « vaccins » si ont utilisait le bon mot, à savoir « injection de produits génétiques expérimentaux non testés »), et si on leur disait que la covid tue moins que la grippe saisonnière ? (sans parler de toutes les absurdités qui ne semblent pas choquer les « vaccinés volontaires », par opposition aux « vaccinés » obligés de céder au chantage).
Quant aux urgences, beaucoup n’en sont pas et surchargent les hôpitaux dont on a diminué drastiquement les moyens depuis des années (outre que les médecins ne sont plus obligés de faire des gardes et qu’ils ne se déplacent plus).
Bravo pour votre commentaire réaliste et sensé M. cendu et ne vous faites surtout pas injecter ce poison!!!
Pour votre information 78%des décès sont des personnes non vaccinées donc faites attention si vous voulez attraper la Covid vous risquez votre vie ( peut-être pas mais peut-être)
Les 9 personnes dont je parle étaient en urgence absolue. L’un des non vaccinés était en phase « terminale ».
29 personnes vaccinées chez vous et toutes ont contracté la Covid. Manque de chance caractérisé ! Certains, dites-vous, sont bien malades. Mais êtes-vous certain que, s’ils n’avaient pas été vaccinés, ils s’en seraient « tirés » aussi « bien » ? Le problème, pour votre « démonstration », c’est qu’on n’aura jamais la réponse à cette question.
Néanmoins, qu’en pensent ces 29 personnes ? « Heureusement que je me suis fait vacciner », ou bien « j’ai eu tort de me faire vacciner » ?
29 personnes vaccinées, vous deux non-vaccinés, êtes-vous certain de plus, qu’étant d’avis minoritaire par rapport à l’ensemble de votre famille, vous n’êtes pas en train de dire « voyez, j’avais raison ». Sans doute parce que ces 29 personnes ne sont pas d’accord avec vous. Je me trompe ?
Perso, je pense que vous avez eu « du bol » qu’ils aient tous décidé de se faire vacciner et encore, ce n’est « que » le variant Omicron. Je vous laisse imaginer ce qu’il se serait passé avec le variant Delta.
Bravo, magnifique ! Cela fait du bien d’entendre, de lire plutôt, mais d’entendre avec le cœur, cela !
Le discours mainstream marche bien sur les esprits faibles!!! les seuls malades que je vois sont des 3vax soit covidés soit amochés, certains regrettent déja leur abonnement shoot, d autres n en démordent pas, la réalité leur fait trop mal. Nous on va tres bien!! Bonne chance aux cobayes!
Je suis un esprit faible par rapport à certaines « sommités » qui interviennent sur ce site et je le revendique.
Je pense que la situation « virale » est actuellement beaucoup moins « inquiétante » qu’elle ne l’était il y a 2 ans. Si j’étais « aux manettes » je demanderais à tous de vivre normalement, comme il y a 3 ans…..et on ferait le bilan dans quelques mois…juste « pour voir »…
J’abonde pleinement dans ce sens.
Nous sommes au moins 2….
Dans cette pandémie, il se trouve que les médecins « traitants » ne reçoivent pas les patients atteints du COVID. Ils leur conseillent généralement de rester chez eux avec du Doliprane ! Pour ce qui est de notre expérience, puisque nous avons été « contactés » par le virus, notre médecin reçoit les patients en consultation, leur fait une ordonnance, les appelle régulièrement, voire se rend parfois à leur domicile, leur donne un oxymètre (pour mesurer le taux d’oxygène)…Si d’autres médecins agissaient ainsi, peut-être y aurait-il moins de personnes aux urgences…
Et bien vous ne savez pas comment ça se passe dans un établissement qui dispose d’un service d’urgence. Les patients se pointent comme ça, souvent sans appeler avant (ce qu’ils ne font pas avec leur médecin traitant!), souvent pour un pet de travers. Et il faut les accueillir, les orienter, avec parcours dédié si Covid+
Et aucune raison de consulter son médecin pour un Covid peu grave. « Ordonnance » de quoi ? les affections virales guérissent toutes seules la plupart du temps, contrairement aux affections bactériennes qui nécessitent des antibiotiques.
Doliprane seulement si douleurs ou fièvre (et encore, la fièvre est un mécanisme de défense et paracetamol pas anodin, peut donner des hépatites à fortes doses), ça ne soigne pas l’infection. Et pas besoin d’oxymetre, on se rend vite compte quand on a du mal à respirer…
la photo ne reflète pas le discours ! il n’y a personne ! et il sattendent le client !
La photo n’a aucun rapport avec le discours. Elle provient de la banque d’images Adobe stock (voir le copyright en dessous).
Sur le panneau rouge à gauche, on peut lire : Zachytné miesto.
Zachytné, en slovaque, signifie prendre, attraper. Miesto je ne sais pas, mais on peut supposer que la photo a été prise en Slovaquie, et ressemble plutôt à une tente de test covid, comme on en voit devant les pharmacies notamment.
A la question de savoir quelle confiance accorder à un article illustré par une photo ramassée vite fait dans une banque d’images, on peut chercher la réponse, entre autre, dans la fable de La Fontaine : L’homme qui soufflait à la fois le chaud et le froid.
Ils ont l’air vachement débordé, ils ont plutôt l’air de se faire ch..r et attendent le client.On nous prend vraiment pour des blaireaux, alors que l’on nous dits que le varian (o macron si tu savais tout le mal que tu nous fait Johnny )et beaucoup moin dangereux, et soudainement les gens ce retrouvent aux urgences. Ils ne savent plus quoi inventer pour justifier le passe de la honte, et le maintenir jusqu’àu mois de juillet, pour obliger les résistants à aller ce vacciner, et pour les pros vax je tien à leurs dire que j’ai 68 ans, non vacciné, que j’ai contracté le varian delta,et je suis (toujours debout,toujours vivant renaut) ,et en bonne santé .En n’attendent la 4ème dose passez une bonne journée
bonsoir, j’aime beaucoup Renaud avec un D et une majuscule et non pas renaut (peut être la voiture?). si vous êtes fan de Renaud vous comprendrez.Merci de corriger vos fautes d’orthographe avant de poster..
Castex a déclaré en 2005 que l’hôpital devait devenir rentable. Une aberration s’agissant d’un service public indispensable, mais une évidence pour ces technocrates obsédés par la rentabilité et la soumission aux règles de l’Union européenne.
Conséquence, les différents gouvernements ont supprimé des lits dans les hôpitaux, ont renoncé à investir, ont refusé les achats de matériels d’examen et de soins, et ont refusé les embauches de personnels soignants.
Résultat : l’hôpital public est en faillite, tout est fait pour accélérer le processus et privatiser la santé.
Mais miracle, depuis le printemps 2020, le pouvoir peut rendre responsable un virus qui a occupé 2 % des hospitalisations pour la même année. Et maintenant, il essaie de rendre responsables les français qui n’ont pas reçu l’injection, laquelle ne protège pas de la contamination, ne protège pas de la transmission, et , on le sait à présent, ne protège pas des formes graves de la maladie.
Et nous voyons donc ces scènes tristes et grotesques de tentes érigées devant ces hôpitaux, qui symbolisent la logique budgétaire et le cynisme absolu de ceux qui nous dirigent, qui ont fait le choix de réduire l’espérance de vie de centaines de milliers de français en les privant d’accès aux soins.
… Non seulement « … ils ont l’air de se faire ch..r » comme dit illenicras…
Mais en plus, la photo illustrant cet article n’a même pas été prise en France, comme en témoigne le panneau indicateur (probablement du Slovaque d’après Google translate (?)).
« Photo d’illustration » est-il mentionné dans la légende ?!…
C’est quoi le message que l’on essaie de nous faire passer ? ça n’a aucun sens, a part semer un peu plus la confusion parmi les citoyens qui sont déjà assez en vrac comme ça !
Peut-être est-ce pour détourner les esprits d’un enjeu autrement plus important, à savoir les élections qui se profilent à l’horizon ?!…
INADMISSIBLE !!! A force de supprimer des lits dans les hôpitaux maintenant il faut « trier » les malades sous des tentes !!! Si cela continue, bientôt il vont refuser les gens d’un âge certain pour ne s’occuper que des jeunes !!! COMME DANS CERTAINS PAYS……….
Mieux vaux parler des tentes que des soignants, à part ça vous faites de « l’information » à travers vos titres toujours tendancieux dans le même sens, le mauvais…
Peut être faudrait il redonner une journée supplémentaire de travail pour les hôpitaux . Ou est passé tout l’argent de toutes ses personnes qui depuis 2003 donne déja une journée de travail par an .