La maladie de Parkinson se manifeste de différentes manières sur les malades. Chaque sujet a ainsi des symptômes qui lui sont propres. Il s’agit d’une maladie qui en phase terminale peut engendrer des conséquences puisque certaines de ses complications se soldent par le décès de la personne. Mais la maladie de Parkinson en soi n’est pas fatale. Il faut donc un certain nombre de conditions réunies pour suspecter cette tournure.
2) Comment vit une personne en fin de vie avec Parkinson ?
3) Meurt-on de la maladie de Parkinson en soi ?
Que se passe-t-il en phase terminale ?
La dernière étape de la maladie de Parkinson est le stade où la maladie est totalement avancée . Ce stade se caractérise par l’impossibilité de se déplacer sans assistance. Le malade est alité ou n’est en mesure de se déplacer qu’en fauteuil roulant.
La maladie s’affirme à un point si important que le patient est incapable de se lever de sa chaise ou de quitter son lit. Il tombe donc lorsqu’il essaie de tenir debout ou de se retourner. Le souffrant de la maladie de Parkinson qui marche en étant assisté, peut s’arrêter de façon brusque ou perdre l’équilibre.
À ce stade, il est important de le surveiller constamment pour prévenir les chutes. Outre cela, le malade a besoin d’aide dans tout ce qu’il fait quotidiennement.
Il doit être nourri en effet puisqu’il ne peut pas le faire seul. À ce niveau, d’autres signes neurologiques et psychologiques sont présents :
- pertes de mémoire ;
- confusion ;
- hallucinations ;
- démence.
- Etc.
Ces symptômes peuvent se manifester de manières diverses et diffèrent en fonction du patient.
Bien qu’aucun traitement ne permette de prévenir la maladie de Parkinson, trois types de thérapies sont possibles à ce stade évolué de la maladie :
- réaliser une stimulation cérébrale profonde : c’est une méthode neurochirurgicale contribuant à une amélioration conséquente (50 %) des difficultés motrices causées par la maladie.
- faire une administration intrajéjunale de gel de Carbidopa ;
- recevoir une perfusion sous-cutanée d’apomorphine.
Le choix de la méthode à suivre parmi les méthodes citées ci-dessus dépend essentiellement de l’état du malade.
Dans tous les cas, il est important de retenir que ces techniques thérapeutiques ont pour but de calmer les symptômes. Ceci sans pour autant empêcher l’évolution de la maladie.
Comment vit une personne en fin de vie avec Parkinson ?
Être atteint de la maladie de Parkinson est une situation vraiment difficile. Elle est très pénible pour le malade. Ce dernier aura des tendances dépressives lorsque la maladie limite ses efforts.
Les malades de Parkinson sont souvent angoissés et de ce fait, ils se renferment et ne veulent plus communiquer. Leur incapacité est si conséquente qu’ils sont souvent surveillés par des aides-soignants. Ceux-ci essaient de communiquer avec eux, leur faire part du rôle qu’ils devront jouer pour faire face à la maladie.
Plusieurs de ces malades reçoivent des médicaments qui leur permettent de mieux dormir et de voir les hallucinations et la confusion réduites. Ces médicaments permettent de réduire par la même occasion la douleur intense engendrée par la maladie.
Ainsi, même s’il est généralement compliqué de révéler une prévision fiable par malade, certaines remarques sont généralement faites.
Le malade vit en voyant sa qualité de vie subir une altération progressive. Des signes montrent aussi clairement que la fin de vie du malade approche. La perte d’autonomie en est un, tout comme les difficultés à déglutir. Ces dernières peuvent même entraîner en fin de compte une pneumonie.
L’arrivée de ces symptômes plus affirmés amène de ce fait certains patients à adopter une méthode plus adéquate. Celle de se servir des soins palliatifs en lieu et place des médicaments de substitution de la dopamine. Les malades de Parkinson proches de la fin de vie vivent en ayant des complications plus régulières. Celles-ci peuvent se manifester sous la forme d’un dysfonctionnement des fonctions cognitives.
Le malade est sujet à la démence, aux troubles d’humeur réguliers et son système nerveux ne fonctionne pas de la meilleure façon. Tous ces détails révèlent à quel point la fin de vie d’un malade de Parkinson est pénible. La vieillesse a tendance à permettre aux symptômes de se révéler encore plus.
Les personnes du troisième âge, meublé de symptômes plus prononcés sont souvent marqué par le décès. Il est donc important de savoir comment on meurt de la maladie de Parkinson.
Meurt-on de la maladie de Parkinson en soi ?
Des études récentes effectuées sur un patient révèlent que généralement, les malades du Parkinson, mais pas sujets à une atteinte cognitive, ont une espérance de vie normale. Ces études apportent par la même occasion des précisions sur comment on meurt de la maladie de Parkinson.
Quoique la qualité de vie du malade soit altérée à cause du Parkinson, l’absence des facteurs de risque permet une non-modification de l’espérance de vie. On ne peut donc pas mourir de cette maladie en soi, même si certaines complications (chutes, troubles) sont des dangers pour la vie des malades.
La maladie de Parkinson a de sérieuses répercussions sur le malade, surtout en phase terminale. À cette étape, il aura des symptômes comme la confusion, la démence, les hallucinations, etc. Un patient de Parkinson en fin de vie perd ses capacités. Ceci est si pénible qu’il est recommandé de le faire assister d’un aide-soignant. Quoique la maladie de Parkinson en soi ne tue pas, les complications comme les chutes ou les troubles de la déglutition peuvent être dangereuses.
3 commentaires
A CAUSE DE L’ HOPITAL pendant la période covid !
CAS DE MON BEAU-FRERE parkinsonien !!!
Entré pour une gastro ! Comme il ne parlait presque plus et donc ne s’alimentait qu’ avec des bouillies !
Ils l’ ont tubé lui esquintant la trachée , et ont refusé les médocs prescrits par sa neurologue ( d’ un autre hopital ! )
Merci les soignants!
Désolé ais votre participation est quasi incompréhensible : pourriez-vous le remettre à l’écrit ? Merci
je constate que la transcription de nos messages est totalement erronée par ce site ! scandaleux !