Les médicaments à base de codéine ou de tramadol sont prescrits contre la douleur aiguë ou chronique. Ces deux médicaments sont des opioïdes puissants. Voici ce qui va changer au 1er décembre.
Des médicaments détournés de leur usage
Les médicaments à base de codéine ou de tramadol sont prescrits en cas de douleur chronique ou aiguë. Mais ils sont parfois détournés de leur usage ou pris en grande quantité. En 2022, le tramadol a provoqué 18 décès, 7 pour la codéine.
Le tramadol peut entraîner une dépendance
«Selon une enquête du Réseau Français d’addictovigilance, le nombre de personnes dépendantes qui ont désigné le tramadol comme premier produit ayant entraîné leur addiction a été multiplié par 17 en 10 ans», rapporte Franceinfo.
Ce qui change au 1er décembre
À partir du 1er décembre, les médicaments à base de codéine ou de tramadol ne seront disponibles que via une ordonnance sécurisée. C’est ce qu’a affirmé l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
C’est quoi une ordonnance sécurisée ?
L’ordonnance sécurisée comporte des mentions pré-imprimées avec le nom, le prénom et le numéro d’identification du médecin. Le nom et prénom du patient y figure aussi. Enfin l’ordonnance sécurisée dispose de codes-barres anti-fraude.
Durée du traitement limitée à 3 mois
Pour les douleurs aiguës, la prescription de tramadol ou codéine sera limitée entre 3 à 14 jours maximum. Pour les douleurs chroniques, elle sera de trois mois maximum afin de limiter le risque de dépendance. L’ANSM rappelle également qu’il ne faut «jamais proposer un traitement de tramadol ou de codéine prescrit par un médecin à une personne de l’entourage.»
3 commentaires
Bref, encore tout un article « putaclic »… pour ne rien dire, on n’y apprend strictement rien du tout ! Puisque même pour des produits paramédicaux (sans AMM), et autres « consommables médicaux »…. les médecins de nos jours (et ceci depuis quelques années, délivrent tous, des ordonnances sécurisées, avec deux codes-barres même, et même avec un filigrane qu’on ne voit que en regardant la feuille à travers la lumière…. Donc RIEN de neuf sous le soleil.
Donc, il est clairement évident, que pour des médics de la classe 6 (stups et assimilés), que ceux-ci soient délivrés, à minima, sur des ordonnances sécurisées, c’est la moindre des choses… (quand on constate tous les « camés » qui sniffent et reniflent n’importe quoi, même des colles et vernis) pour se faire des shoots… et font un business juteux en revendant soit les ordonnances (anciennes versions non sécurisées), soit les produits directement (par exemple, le subutex…)
Je n’ai JAMAIS VU, ni-même il y a 15 ans, une « ordonnance » (!!??), sans l’identité du patient (et même son numéro de sécu y est, car des homonymes il y en a), ainsi que le pedigree complet du praticien (y compris les références de la fac où il a fait ses études, ni son n° d’inscription, ne manquent…
De nos jours, avec Doctolib, sur lequel on reçoit également les ordonnances en format numérique PDF sécurisé, on peut imprimer soi-même autant de fois qu’on veut, (et si ça amuse les patients) d’envoyer le fichier PDF par mail à toutes les pharmacies de sa ville (puisque c’est le « système moderne » préconisé, même par la sécu, Ameli, ex-DMP), pour « simplifier les démarches », il n’y a normalement aucun risque de fraude ou de « duplication de délivrance », puisque dès qu’un « exemplaire » d’une ordonnance est délivrée, cette action est inscrite immédiatement dans le fichier central de la sécu, et les autres pharmacies ne pourront plus délivrer cette même ordonnance « déjà délivrée par un confrère »…
Donc, l’époque, révolue, où le camé parcourait toute sa ville et « écumait » toutes les pharmacies rapidement, afin d’espérer que la première pharmacie n’ait pas encore remarqué le subterfuge, que la dernière pharmacie a déjà réussi à délivrer les produits, en n’y voyant que du feu, c’est fini ! Avec le « flicage » de la sécu (elle sait même si on a cherché un produit ou non, et quand, et si cela a été délivré en une ou plusieurs fois, et par quel pharmacien, etc, bref, Big Brother Sécu est là, à surveiller si vous prenez bien votre TTT… afin de bien vérifier que vous vous soignez bien, afin de « coûter moins cher à la sécu » (!), alors que les deux tiers du volume de la fraude est commise par les professionnels de santé (et en majorité par les libéraux, qui par exemple ne passent que une fois sur deux chez le patient, mais ramassent tous les jours les honoraires d’intervention. Sans parler des « VSL imaginaires »….
…. Des médics stups « détournés de leur usage », ça fait belle lurette que cela existe 🙂
T’achète des boites de doliprane (classe 2 : simples antalgiques), vendues en « libre-service » en pharmacie, et tu ingurgites les deux boites (ou t’en accumules plusieurs au fil du temps, comme dans la majorité des familles), et tu t’en empiffres 20 ou 30 grammes en un coup ou en une journée,, c’est plié pour ton foie et tes reins, c’est bein plus efficace qu’un couteau pour ne pas se louper…
Donc, si pour du simple doli, on peut se farcir des doses mortelles, alors qu’il est quasiment aussi facilement procurable que des bonbons, ben, ils ont beau sécuriser à mort leurs ordonnances, des morts il y en aura toujours (quand on fait le con avec les médics).
L »histoire se répète, on s’est battu contre le fascisme et le totalitarisme et ému voire traumatisé devant le film la liste de Schindler et voilà que LA NOUVELLE SS nous pond une nouvelle restriction contre les douleurs alors que dans 90% des cas les dangers des produits à base d’opium, le premier médicament contre le mal de vivre pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir une famille et une disposition de santé mentale en bon « fonctionnement », lez IRMS FONCTIONNELS le démontrent, via les marqueurs injectés, c’est le paracétamol associé qui fusille le foie alors que les opioïdes n’affectent que la motricité gastro-intestinale et apaisent les âmes en souffrance. Freud lui-m^me avait prédit que le fascisme via les systèmes automatiques de fichage par algorithmes allaient stigmatiser les déshérités les ficher les pénaliser les enfermer leur donner des électrochocs et autres remedes fort bénéfiques, quel bonheur de recevoir 2400 volts dans l’encéphale en série sans parler des anesthésies générales fort utiles à l’organisme ! Les premiers fraudeurs d’apres ameli 2023 sont en priorité les pharmaciens avec 61% de taux de fraudes sur cette année , chiffres officiels suivis des infirmiers qui facturent sans passer voir le patient etc, alors qu’une boite de codéine coute deux euros payé par le malade qui ne cherche juste qu’à apaiser sa souffrance dans un monde en pleine dystopie désincarné et laminé par l’égoisme piloté par des psychopathes . La SS fonctionne uniquement avec des fichiers numériques ciblés et pour un dérapage de quelques jours vous êtes pistés à vie au mépris des libertés individuelles et du droit à l’oubli avec la cnil et ses effectifs de 233 agents ! bien entendu, c’est voulu, malgré l’immensité des enjeux pour la démocratie et ce qu’il en reste ! ! il est desormais dix fois plus facile d’acheter de la merde de cannabis qu’ne boite de calmants ! je le sais par un ami qui s’est suicidé parce qu’il n’avaient plus de médecins a cause de mails propulsé par des automates effrayant les praticiens qui sont devenus des auxiliaires de police sans parler des spots tv c’est la PRAVDA avec ses injonctions polyvalentes alimentation, cardio, orl, Alzheimer, hygiène buccodentaire, bref elle nous encadre comme des babouins, même Himmler ou Eichmann n’avaient pas leur talent pour terroriser les dépressifs et autres psychotiques qui n’ont pas eu le bon terrain biologique pour se sortir la tête de l’enfer et on les stigmatise pour une consommation « nuisible à leur santé »….Au moins en Afrique ils ont des marabouts et PAS UNE SOCIETE DE CONTROLE !