Le remboursement et l’accès de la pilule de Pfizer contre la Covid-19 est facilité. Qui peut bénéficier de cette pilule ? Quel médecin peut la prescrire ?
Fini la procédure d’urgence
Le Paxlovid est le nom de la pilule anti-Covid développée par le groupe Pfizer. La Haute Autorité de santé (HAS) lundi 25 avril, a publié un avis visant à faciliter sa prescription du Paxlovid. Cette pilule est déjà remboursée en France mais dans le cadre de modalités d’urgence.
Qui peut la prescrire ?
Dès que l’avis de la HAS est entériné par la gouvernement, les médecins traitants pourront plus facilement prescrire cette pilule à leurs patients qui présentent déjà des symptômes de la Covid. Pour être efficace, cette pilule doit être prise «dans les cinq jours suivant l’apparition des symptômes», précise la HAS.
Qui peut recevoir cette pilule anti-Covid ?
La pilule de Pfizer est limitée aux personnes à risque face à aux formes graves de la Covid-19. La pilule est prescrite pour ces personnes qui n’ont pas besoin d’être placées sous oxygène. Les personnes de plus de 65 ans et celles en surpoids peuvent faire partie de ces patients à risque.
14 commentaires
Pfizer…soigner ou guérir …Quel est le plus rentable ?
(Manquerait plus que cette pillule ait la même base que l’ivermectine même lointaine …des précisions?)
La pilule de Pfizer est limitée aux personnes à risque face à aux formes graves de la Covid-19….
Mais je croyais que le vaccin évitait les formes graves ??????
Double effet Kiss cool 👍
C’est parce qu’il y a de nombreuses pathologies pour lesquelles le vaccin ne suffit pas a cause de la perte d’immunité des patients (causé par les traitements).
Toujours à râler quand ont trouve un nouveau traitement moi je suis à rires haut risque et si ce médicament peut m empêcher de me retrouver à l’hospital avec des tubes partout oh que oui je la prendrai je vai même demander à mon médecin de m en prescrire en vu d être contaminé encontre.une fois car je vous prie de croire que lorsque vous sortez d un mois hospitalisé et sous respirateur vous n en sortez pas indem il vous faut des mois pour redevenir la personne que vous étiez avant moi je dit chapeau à pfeifer la seul usine qui cherche et trouve vite bravo
Je n’ai jamais été vacciné causes pathologies m’interdisant les vaccins.j’ai 74ans et j’ai eu le Covid omicron il y 5 semaines, mon médecin m’a de suite prescrit PAXLOVID et je n’ai pas eu de probmème par rapport au Covid, 8 jours après j’étais négatif … je ne supporte pas Pfizer mais là je n’avais pas le choix…..
SEVERINE:
je me suis fais vaccine contre le covid 19 ,j’ai eu les 3doses de PFIZER .
LA 3IEME DOSE PFIZER ,j’AI EU UN MAL DE CRANE PENDANT 3/4 JOURS, j’ ai eu mal au bras
pendant 8 jours. MON MEDECIN M’A PRESCRIT DES DOLIPRANES 1000MG .
macron parle déjà de reconfiner et remettre le pass et les masques bravo a ceux qui on vote pour lui il va bien supprimer les vacances avec
Moi, perso, je ne vais que rarement en vacances. Je me contente de ce que j’ai. Et oui, il faut remettre les masques. Ne vous en déplaise. Ce ne sera pas une décision de Macron mais de l’Union Européenne. Nous avons aboli trop vite les masques, le pass et les gestes barrières ne sont plus qu’un vague souvenir malheureusement. Si tout le monde y mettait du sien, peut être que nous n’en serions pas là.
C EST SUR ON VA Y AVOIR DROIT COMME S IL NS AVAIT PAS ASSEZ EMMERDE /ET LA CA RISQUE D ETRE PIRE CAR REELU DE PEU ON PEUT DIRE, IL VA SE VANGER
Le Royaume-Uni a effectué un tournant de sa politique sanitaire le 1er avril dernier avec l’arrêt de la distribution massive de tests gratuits, et la fin de l’obligation de se faire tester en cas de symptômes. Un virage qu’a défendu le Secrétaire d’État à la Santé britannique Sajid Javid (SJ) interrogé par Freddie Sayers (FS) sur Unherd (voir la vidéo en lien ci-dessous).
FS : Pourquoi une telle décision alors qu’on constatait une recrudescence des cas positifs ?
SJ (1’05’’) : « La décision a été prise il y a plusieurs semaines déjà, et elle est en ligne avec la stratégie engagée dès l’été dernier. Nous devons vivre avec le Covid, voir ce virus comme endémique et non plus comme une pandémie. Nous ne testons pas massivement pour la grippe ou d’autres maladies endémiques, et nous ne voyons pas l’intérêt de le faire pour le Covid… Les tests vont être réservés aux personnes fragiles, dans les maisons de retraite et dans les établissements de santé. L’idée est de pouvoir leur administrer plus efficacement les nouveaux traitements contre cette maladie. Nous sommes en avance par rapport au reste du monde ! »
FS (2’20’’) : « Nous serions donc, selon vous, en avance par rapport à nos voisins ? »
SJ : « Oui, et c’est grâce aux décisions prises dès le mois de juillet 2021 quand nous avons décidé de lever la plupart des restrictions. Bien sûr, le variant Omicron nous a inquiétés en novembre dernier. De nombreuses voix scientifiques réclamaient le retour des confinements et fermetures. Nous avons fait le choix de miser sur les défenses pharmaceutiques : en plus des vaccins, nous disposons aujourd’hui de plus de médicaments antiviraux par personne que tout autre pays européen… »
FS (4’) : « Vous n’étiez pas encore au gouvernement au début de la pandémie. On n’aurait jamais imaginé que les libertés individuelles seraient autant battues en brèche… Quel bilan en tirez-vous ? »
SJ : « Il est légitime de tirer les leçons de cet épisode en menant une enquête publique. Une chose me parait sûre : nous ne devons plus accepter de confinement ou de fermetures de commerces et d’écoles sans les justifier par des critères transparents et très stricts. Par exemple, la dangerosité démontrée d’un virus. Il y a une leçon positive pour notre pays : la vitesse de réaction et la collaboration entre pouvoirs publiques et privés pour approuver les premiers vaccins. »
FS (7’) : « Nous avons du recul et des chiffres : on ne voit pas de corrélation entre les pays qui ont le moins souffert du Covid-19 et ceux qui ont imposé des confinements stricts. »
SJ : « L’idée était d’arrêter la propagation du virus. Or, l’impact de telles mesures se révèle disproportionné entre un coût économique exorbitant et les dommages sur la santé physique et mentale des populations. Les plus jeunes ont terriblement souffert mentalement, et nous commençons à entrevoir les conséquences sur la détection des cancers, par exemple, puisqu’on a focalisé toute l’attention médicale sur le SARS Cov-2. Nous voyons aujourd’hui que, malgré des infections en hausse, nos hôpitaux peuvent gérer car nous avons renforcé leurs capacités et nous comprenons comment traiter la maladie beaucoup mieux qu’au début. 55% des patients détectés comme positifs au Covid à l’hôpital ne sont pas là à cause de cette infection ! Je ne suis pas Secrétaire d’État au Covid mais à la Santé ! »
FS (12’) : « Avec l’arrivée d’Omicron, vous avez été mis sous pression… »
SJ : « Certainement et nous étions inquiets car les projections des scientifiques étaient apocalyptiques… Nous avons décidé de faire confiance à nos concitoyens et de consulter au-delà des cercles de chercheurs, y compris à l’étranger. On doit accepter le risque ! Les pays qui suivent toujours une politique de « zéro Covid », comme la Chine, sont dans une situation intenable. On ne peut pas responsabiliser une population en prétendant faire disparaitre ce type de maladie par des mesures sociales. »
FS (18’) : « N’y-a-t-il pas une leçon philosophique ? Vouloir contrôler la société, c’est vouloir asservir la nature et c’est un échec… »
SJ : « Absolument. Et nous devons l’accepter car d’autres épidémies viendront. Il vaut mieux se concentrer sur la compréhension des origines de ces nouveaux virus. »
FS (20’) : « Êtes-vous choqué par le manque de résistance des sociétés occidentales face aux contraintes massives imposées à des gens en bonne santé ? »
SJ : « Nous devons en effet avoir le courage politique de reconnaitre les erreurs commises. L’obligation vaccinale généralisée par exemple n’est pas une bonne politique car elle divise et déresponsabilise… Au contraire, la transparence s’impose. Elle permet de contredire efficacement la désinformation sur les vaccins mais aussi de parler ouvertement des effets secondaires – en particulier les problèmes réels de myocardite. Ainsi, les gens peuvent prendre leurs décisions en pesant le pour et le contre avec leurs médecins sans l’interférence du gouvernement qui est là pour donner toutes les informations disponibles. »
On a pas besoin de médicament anti-covid, alors qu’est-ce qu’il y a comme poison dans ces pilules ? C’est peut être pour rendre malade et tuer ceux qui ont peur du « vaccin » et qui ne sont pas « vaccinés ». C’est évident que pour réduire la population le « vaccin » ne doit pas suffire.
Vous êtes un petit rigolo. En tout cas, c’est dommage que le virus ne s’attaque pas plus aux gens comme vous.
Le vaccin a été créé pour la vie et non pour la mort.
On voit où nous mène des idées comme les vôtres
Les gens en France font vacciner de moins en moins les tous petits.
La rougeole revient en force partout dans le monde provocant d’innombrables morts. Alors qu’il suffit d’un vaccin existant pour éradiquer cette maladie mortelle. Les pays sous développés n’ont pas le choix, mais les pays industrialisés eux ont tous les atouts en mains et malgré tout, ils boudent les vaccinations.
Je le dis et je le pense, la race humaine régresse.
C EST SUR ON VA Y AVOIR DROIT COMME S IL NS AVAIT PAS ASSEZ EMMERDE /ET LA CA RISQUE D ETRE PIRE CAR REELU DE PEU ON PEUT DIRE, IL VA SE VANGER
port du masque de retour , c’est prévu pour juillet ..normal , certains font n’importe quoi aussi , et les clusters vont repartir à la hausse avec le beau temps !!! je le mets systématiquement dans tous commerces et suis parfois horrifiée par le comportement des clients ….malgré les 3 doses j’ai choppé cette merde ,au lit pendant 1 semaine complètement HS et vraiment pas envie d’y revenir !!!!!