Plusieurs mois après l’infection du Covid, vous pouvez être victime de convulsions et de crises d’épilepsie. C’est le constat inquiétant d’une équipe scientifique d’Oxford. On fait le point.
Risque accru de crises d’épilepsie
Une équipe d’Oxford, en Angleterre, ont établi un lien entre l’infection au Covid et un risque accru de convulsions et de crises d’épilepsie. Les résultats de leur recherche est publiée depuis le 16 novembre 2022 dans la revue Neurology. C’est la revue de l’Académie américaine de neurologie.
Le risque concerne surtout les enfants
Les chercheurs de l’université d’Oxford ont étudié les dossiers de santé de plus de 150.000 personnes infectées par la grippe et le Covid. Aucun des patients n’avait souffert d’épilepsie ou de convulsions. Le risque d’épilepsie est «plus perceptible chez les enfants que chez les adultes», note aussi l’équipe du professeur Arjune Sen qui a mené cette étude.
Alerter les pédiatres et médecins de famille
Ce risque de convulsions et d’épilepsie chez les enfants incite les scientifiques à demander «aux professionnels de la santé d’accorder une attention particulière» aux enfants qui font des crises épileptiques partielles dans les trois mois suivant une infection au Covid-19.
Un risque global faible
Heureusement, le risque de convulsions et d’épilepsie est rare. Selon les auteurs de l’étude, il est de l’ordre de moins de 1% de toutes les personnes testées positives.
7 commentaires
toujours le même problème dans ces étude ou le biais est de rigueur
il faut faire la distinction entre injecté et non injecté
Réponse à Patrick76
Oui ce serait intéressant de le savoir.
@patrick : non pas pour cette etude. l injection sert a se premunir contre les formes graves immediates. Une fois l attaque passee, si le virus passe en mode furtif (ce qui est le cas pour les effets a long terme), il ne devrait pas y avoir de différence puisque le système immunitaire se fait avoir de la meme facon
@pourinfo
les effets secondaires des injections contre le H1N1 en 2009 se sont déclaré plus de 2 ans après
c’est pour cela que toute étude sérieuse se doit de faire la distinction entre injecté et non injecté
c’est le seul moyen pour prouver le lien ou non avec ces produits
Réponse à Patrick76
Je suis d’accord. Pour savoir si le vaccin entraîne certains effets il faut mentionner si la personne qui a des effets secondaires est ou non vaccinée afin de pouvoir rattacher ou non certains effets secondaires au vaccin sinon on ne peut rien prouver ! et on ne peut en tirer aucune conclusion !
les effets dont on ne parle pas , sont les pertes de mémoire, qui conduisent à un Alzheiner précoce, après le dernier rappel fait avec un moderne, fait sur Ma Compagne de 74 ans , qui était en 1ère série au bridge , en parfaite santé, et qui voit sa vie basculer désormais… elle n’avait jamais eu le Covid , et à cause de cette Vaccination, elle cherche ses mots , et perd la mémoire récente… en Angleterre des milliers de personnes attaques Moderna , mais le mal est fait …
Dès le début de l’épidémie, ça n’a jamais été clair… On a tout de suite compris ce qui se passait et avons suivi les opérations en étant complètement impuissant. La seule chose que l’on pouvait faire était de ne pas se faire injecter et prévenir l’entourage de ne pas risquer leur santé inutilement.
Les effets secondaires sont très peu remontés car les médecins ont reçu des consignes claires à ce sujet…
Le plus délirant dans l’histoire est qu’il est impossible d’obtenir le statut vaccinal des personnes malades à l’hôpital ou décédées alors que l’on est encore en phase de test, le bon sens voudrait que l’on suive toutes les personnes qui se sont portées volontaires pour l’expérimentation sur l’humain…! Et bien non, à les croire, aucun comptage de ce type…alors que l’on sait qu’un grand nombre d’employé de l’hôpital passe son temps sur des tableaux Excel, c’est un jeu d’enfant pour eux de sortir ce type de données…!
Et là on se dit que c’est encore pire que ce que l’on pensait…
Et maintenant ils proposent la 5ème dose, mais jusqu’où vont-il aller????